Du nouveau: Simplement Terre migre pour vers un nouveau site boutique.
retrouvez les créations, la boutique et le blog sur
https://www.simplementerre.fr/
La Terre Argile je l'ai rencontrée très tôt : fille de potiers j'ai grandi dans un monde tourné vers la création esthétique et mes études ont suivi cette direction (beaux arts et licence d'histoire de l'art ).
Et puis... la vie m'a conduit ailleurs et j'ai suivi la formation d'éducatrice de jeunes enfants pour accompagner les jeunes personnes dans leur découverte du monde . Depuis 2014 je suis revenue à la céramique. Création de bijoux en raku en production principale. Mes modèles s'inspirent des effets de matières du monde naturel, des contrastes de couleurs, texture et asymétrie. Le monde pictural moderne est aussi une source d'inspiration (miro, matisse, calder...) Quelques boites assorties à mes collection de bijoux voient le jour dans mon atelier. Je fais également des statues en raku. Êtres hybrides sortis de mon imaginaire personnel. Je Fais cuire mes pièces dans un four raku. |
Le Raku :
La cuisson raku consiste à faire monter les pièces à 980 degrés afin d’atteindre le point de fusion des émaux. Le four est ouvert immédiatement ainsi les pièces sont encore incandescentes elles vont alors subir un choc thermique et l’émail va se craqueler. Les pièces sont rapidement mises dans des caisses contenants des matériaux inflammables (papier sciure paille… ) où l’action du feu va donner aux émaux des effets variables en fonction de la température ou du temps passé dans le caisson dans lequel la réduction de l’oxygène va donner à la terre sa couleur noire et révéler les craquelures.
Cette pratique permet d’obtenir des objets d’une beauté unique et imprévisible.
Le raku joue des contrastes. Où le feu l’air et l’eau dans une action brutale et mouvementée jouent avec le temps s’unissent, et font naitre la beauté de l’instant. Une trace de l’éphémère fixée dans la matière. C’est une poésie du temps.
La cuisson raku consiste à faire monter les pièces à 980 degrés afin d’atteindre le point de fusion des émaux. Le four est ouvert immédiatement ainsi les pièces sont encore incandescentes elles vont alors subir un choc thermique et l’émail va se craqueler. Les pièces sont rapidement mises dans des caisses contenants des matériaux inflammables (papier sciure paille… ) où l’action du feu va donner aux émaux des effets variables en fonction de la température ou du temps passé dans le caisson dans lequel la réduction de l’oxygène va donner à la terre sa couleur noire et révéler les craquelures.
Cette pratique permet d’obtenir des objets d’une beauté unique et imprévisible.
Le raku joue des contrastes. Où le feu l’air et l’eau dans une action brutale et mouvementée jouent avec le temps s’unissent, et font naitre la beauté de l’instant. Une trace de l’éphémère fixée dans la matière. C’est une poésie du temps.